S'exprimer, une liberté ?
À propos
Les participants enchainent les sujets en variant les thématiques et passent de la slow fashion à la liberté d'expression avec aisance et imagination.
Le parti pris : s'éloigner des caricatures et de la presse pour plonger dans une dystopie où la privatisation de l'alphabet rend la communication, au sens large, complexe.
Le parti pris : s'éloigner des caricatures et de la presse pour plonger dans une dystopie où la privatisation de l'alphabet rend la communication, au sens large, complexe.
Imaginez un monde où peu à peu les lettres sont rachetées par les multinationales, un monde où s'exprimer serait payant !
Heureusement, à Extérieur Jour ce n'est pas le cas et s'est dans une totale liberté que le prochain film se construit.
Heureusement, à Extérieur Jour ce n'est pas le cas et s'est dans une totale liberté que le prochain film se construit.
Pour les diffusions du mois, on plonge dans les archives pour vous proposer :
Le dimanche 8 février : Sang tabou
Bien qu’elles soient naturelles, le patriarcat a fait des règles un sujet tabou, les entourants de traditions servant le plus souvent à avoir une emprise sur les femmes en les soumettant à des traitements discriminants.
De nos jours, en plus des traditions qui perdurent, le capitalisme et la société de consommation amènent au constat suivant : toutes les femmes ne sont pas égales face aux règles. Certaines en situation de -grande- précarité doivent choisir entre manger ou saigner.
Entre solidarité et dénonciation, et avec une dose d’humour, SANG TABOU lève le voile sur les menstruations.
De nos jours, en plus des traditions qui perdurent, le capitalisme et la société de consommation amènent au constat suivant : toutes les femmes ne sont pas égales face aux règles. Certaines en situation de -grande- précarité doivent choisir entre manger ou saigner.
Entre solidarité et dénonciation, et avec une dose d’humour, SANG TABOU lève le voile sur les menstruations.
Le dimanche 22 février : Drogue & vous
La drogue, tout le monde en parle. Certains disent que c'est mal, d'autres que c'est juste pour faire la fête... Quand on creuse un peu, on se rend compte qu'il y a autant d'avis que de consommateurs. Addiction, drogues dures ou médicinales, derrière chaque expérience, il y a le besoin de moins souffrir, de s'évader. Mais au fait, un petit joint le soir, c'est grave docteur ?
Toujours sur Bx1 dès 14h.