«Sans frapper» récolte les éloges de la presse française

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De sa première mondiale au festival Visions du réel à Nyon en 2019, où il a obtenu le Prix du Jury, à sa sortie française en mars 2022, "Sans frapper" d'Alexe Poukine fait l'objet de nombreux articles, critiques et interviews, parmi lesquels Télérama, Libération, Le Monde, France Culture, Première, Bande à Part ou encore Fucking Cinéphiles.
 
Le film est acclamé pour son procédé formel original et audacieux, et son engagement pour l'élimination des violences faites aux femmes, toujours d'actualité.
 
Voici un petit échantillon des critiques :
 
«En transformant le «je» en «nous», et conjuguant ainsi le singulier au pluriel, le procédé possède la vertu de recréer - et de nous faire vivre à notre tour - le cheminement (intellectuel, affectif) auquel s'est confrontée la réalisatrice.»
Le Monde par Véronique Cauhapé
 
«Outre la force de ce témoignage, la véritable prouesse du film réside dans le lâcher-prise des comédiens. Abandonnant chacun à leur tour le texte qui les réunit, ils livrent leur ressenti, voire leur jugement, face au récit d'Ada. (...) Alexe Poukine livre un outil presque pédagogique pour faire évoluer notre regard collectif sur ce crime , dont 65 000 femmes se sont déclarées victime en 2018 en France.»
Libération par Virginie Ballet
 
«À ce texte très intime se heurtent leurs propres expériences personnelles. Jugements, émotions, prises de conscience et introspections se révèlent face à la caméra de la réalisatrice, qui parvient à catalyser des moments de grande sincérité pour dresser un portrait universel, résolument humain, impactant, déstabilisant
Journal des femmes par Fiona Hipert
 
«Le film touche en plein coeur, car il vient questionner, brutalement, et doucement, violemment et simplementsur la manière dont ces femmes vivent leur féminité, cette approche qu'elles ont de ce moment où un homme leur a pris leur vie, leur intimité
DVD critique par Emmanuel Galais

«Accompagnée par Elin Kirshfink à l’image, Bruno Schweisguth, Marie Paulus au son et Agnès Bruckert au montage, Alexe Poukine filme avec une douceur feutrée, pleine d’empathie, mais sans concession aucune. Le film élargit son spectre sur l’universalité des violences sexuelles. Celles subies. Celles qui s’infligent et qu’on inflige. Celles qui hantent pour l’éternité, errant comme des fantômes pour se glisser dans des fissures qui laissent encore, quoique difficilement, passer la lumière
 
Retrouvez l'entièreté de la revue de presse sur la fiche du film.

 

 

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