«BON VOYAGE met ainsi en scène toutes sortes de jouets et d’images composant un univers onirique foisonnant dans lequel Chantal Goya donne la main à Frankenstein, cependant que des enregistrements sonores donnent à comprendre ce qui se joue dans cette dernière étape d’une vie bien remplie. Une œuvre forte et belle, dont on sort aussi ébloui que retourné.» - Télérama

Les Magritte du cinéma sont remis annuellement à des professionnel·les dans diverses catégories pour saluer l'excellence des productions du cinéma belge francophone. Cette année, le CVB et deux de ses autrices sont nominé·es dans les catégories des meilleurs documentaires et courts-métrages documentaires. Finger crossed !

Le jury de Docs@POFF récompense un documentaire captivant qui explore avec sensibilité la résilience face à la migration, la nostalgie et l’espoir. À travers des choix pour un avenir différent, il met en lumière des relations délicates et un profond attachement aux racines.

Judith Longuet-Marx remporte le Grand Prix du Festival du film court de Villeurbanne avec *Les heures creuses*. Karine Birgé est récompensée au BAFF, où le jury jeune a élu *Bon voyage* comme leur "coup de cœur".

Le film reçoit la mention spéciale du jury. Il est diffusé ce mois-ci à Bruxelles (BAFF), à Nivelles, et à Paris en décembre.

Le film fait partie des 30 films sélectionnés cette année. Il sera diffusé au festival Vrai de Vrai les 23 et 24 novembre au cinéma MK2 Bibliothèque à Paris.

Des films primés aux festivals français de Jean Rouch, Psy de Lorquin et IRTS Lorraine. Bravo aux cinéastes !

Avec plaisir et fierté, le Comité belge de la Scam remet des prix depuis de très nombreuses années, pour distinguer des œuvres ou des parcours remarquables parmi les membres de la Scam. Retrouvez cette année Coline Grando et Karine Birgé.

Coline Grando et Judith Longuet-Marx seront-elles récompensées pour leur film documentaire, qu'il soit court ou long ?

«BON VOYAGE met ainsi en scène toutes sortes de jouets et d’images composant un univers onirique foisonnant dans lequel Chantal Goya donne la main à Frankenstein, cependant que des enregistrements sonores donnent à comprendre ce qui se joue dans cette dernière étape d’une vie bien remplie. Une œuvre forte et belle, dont on sort aussi ébloui que retourné.» - Télérama